jueves, 20 de octubre de 2005

Anónimo

Foto de Robin Davies
Quand je menais les chevaux boire j'entendis le coucou chanter
Il me disait dans son langage "ta bien-aimée on va l'enterrer"
-Ah que dis-tu méchante bête j'étais près d'elle hier au soir
Mais quand je fus dedans la lande j'entendis les cloches sonner
Et quand je fus dedans l'église j'entendis les prêtres chanter
Donnais du pied dedans la châsse "réveillez-vous si vous dormez!"
-Non je ne dors ni ne sommeille, je vous attends dedans l'Enfer
Vois ma bouche est pleine de terre et la tienne est pleine d'amour
Auprès de moi reste une place et c'est pour toi qu'on l'a gardée.

Y si una tarde de otoño, bajo la lluvia...

4 comentarios:

it dijo...

Tenga cuidado, don Araña, con esas músicas y especialmente con esta canción.... son muy adictivas.

¿Y no le recuerda, en cierto extraño modo, a la estrofa tercera de la canción de Solveig?

Creo que se la dejaré, como un regalito, al ras.

Saf ;-))

it dijo...

¡Arrecaraynas, Robertokles! ¿es Rasputín, el de su agradable avatar???????

it dijo...

(jajajajajajaaaaaaaaa, Sita: ¡parece que hasta nos cronometramos!)

Saf ;-))

Egonauta dijo...

Mélodie et paroles appartenant a l’ancien folklore du nord de la France. Certain versions de cette pièce sont chantées par de chorales populaires. Probablement, la répétition des versets dans le texte du castpost pourrait indiquer, très probablement, un écho de la chorale au chanteur.

Egonauta